Feux de Saint-Jean-de-Luz, passe d'Illarguita, alignement au 138°, |
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feu antérieur ou feu de Socoa; la demande est très ancienne puisque dès mars 1816 l 'inspecteur général Sganzin transmet un document dont une pétition par laquelle les marins-pêcheurs de la commune de Ciboure sollicitent la permission d'établir à leurs frais un phare dans le voisinage de la tour du Socoa .
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feu postérieur ou feu de Bordagain,
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Feux d 'alignement au 151° de Saint-Jean-de-Luz, alignement d 'entrée dans le port,
toutes les 6 secondes sur une tour carrée blanche en béton armé de 12m de hauteur avec une bande verticale rouge du côté du large. Aujourd'hui bande verticale peinte en vert.
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feu postérieur, au fond du port
ou tour de Ciboure Le projet fut mis en adjudication le 31 mai
1870 et adjugé au sieur Lannès, entrepreneur
à Ciboure. La grande tour carrée est établie
sur une couche de sable dur rencontré à 1 mètre
environ au dessous du sol naturel ; eu égard au poids considérable
de la tour et aux difficultés rencontrées tant pour
les épuisements que pour retenir le remblai de la route dont
on avait du démolir le perré, on préféra,
en exécution, faire une plateforme en béton.Par suite,
d 'une part d 'un défaut de financement, et d 'autre part de
la difficulté de se procurer des pierres de taille d 'Ascain
et d 'Angoulême les travaux sont prolongée jusqu'en novembre
1872. L 'exhaussement de la tour est confié au célèbre architecte Pavlosky qui utilise l 'ancienne tour comme support du nouveau phare toujours en place. Aujourd 'hui la raie est peinte en vert. |